Deja Vu Penelope
Décidément j’adore cette DEJA VU Penelope Changing Mood pour la versatilité des ses traits.
Là, il est vrai, je l’ai un peu aidée à grands renforts de make-up Photoshop. Mais c’est pour mieux coller à l’idée que je me fais de ce personnage qui pourrait s’appeler Debbie, designer en devenir, écumant les boîtes de nuit comme le STUDIO 54 à la fin des années 70 en look Halston. Elle aurait pu y rencontrer Grace Jones, Donna Summer ou Liza Minnelli ivre morte.
Pour trahir l’histoire Tonner des Deja Vu, non, elle ne mourra pas d’overdose dans les toilettes du club, non elle ne sera pas révélée par un pygmalion. Elle maîtrise son destin, dirige sa carrière et n’est pas une victime.