Miss, myself & I

  • Miss, myself & I

    The Break Day

    crackono

    Il y a des jours comme ça, plus pénibles que les autres !

    Cette nuit, prise d’une crampe, je me précipite hors du lit, bien entendu je n’ai pas allumé la lumière ni appréhendé ma lecture en cours – le gros volume de Conan Doyle,  l’intégrale des aventures de Sherlock Holmes constat : 4ème orteil ou quartus cassé.

    Tout à l’heure, en emmenant ma mère faire ses courses, une voiture blanche me fonce dessus, refus de priorité d’une jeune conductrice accompagnée, constat… portière avant gauche enfoncée, que de la toile froissée fort heureusement ; ça fait 20 ans que j’ai mon permis, même si je ne suis pas fautive, c’est mon premier accident !

    A ce rythme là, je vais rester dans mon transat ce week-end, à l’ombre, mais loin des branches et des tondeuses à gazon, on ne sait jamais !

  • Miss, myself & I

    Merci !

    Ce matin, j’ai eu la surprise de recevoir un cadeau ! d’une artiste également fan de Tonner ! Nous avions longuement parlé « beaux arts » et voici qu’arrive comme par magie, la concrétisation d’une passion.

    Je suis extrêmement touchée par ce geste. Merci infiniment Hélène <3 Cette ensorcelante Tyler Cinnabar me couvera du regard tous les jours au bureau.

    Tyler Cinnabar par Hélène G.
    Tyler Cinnabar par Hélène G.

  • Miss, myself & I

    Be my Solo !

    A tous les célibataires qui, le regard affligé constatent le mercantilisme bétonné de ce jour mais aimeraient bien être décongelés tout de même…

    Never Solo again !

    Si sur cette planète, j’ai un admirateur secret, merci de m’offrir ceci…

    Je vous serai rebelle toute ma vie !

  • Miss, myself & I

    JP Gaultier HC 2014

    Toute la collection sur le thème des papillons est magique ! Je veux voir cette tenue sur une poupée !

    Jean Paul Gaultier – Haute Couture 2014

  • Miss, myself & I

    Overdose de rose

    Un groupe anglais de consommateurs Let Toys be Toys a récemment mis en avant la stéréotypisation des couleurs dans l’univers du jouet. On pourrait penser qu’à l’aube de ce nouveau siècle, les mentalités allaient évoluer, c’est tout le contraire.

    Une étude démontre qu’actuellement et plus que jamais, le bleu est pour les garçons et le rose pour les filles. Alors que dans les années 70, le blanc, rouge et orange prédominaient dans les jouets « domestiques » (cuisine, ménage, poussettes), tout n’est que rose plus ou moins criard aujourd’hui. C’est une régression digne des années 50 où le rôle de la femme était confiné à sa cuisine.

    Stéréotypisation des jouets
    Les jouets dans les années 70 – Les jouets maintenant
    Lego Friends

    C’est ce que démontre l’industrie du jouet actuellement. Le parfait exemple, Lego Friends, célèbre jouet de construction ciblé « filles ». Des figurines aux courbes plus féminines évoluent dans un ghetto rose où trônent boutiques, palaces et yachts en tous genres, vous n’y trouverez pas de pompiers ni de policiers, marginalisant le rôle de la femme dans la société.
    Disney a récemment du faire machine arrière pour avoir voulu « glamouriser » le personnage féminin de Rebelle, une taille plus fine, des yeux plus grands, une chevelure plus disciplinée.

    Princesse Mérida - Avant/Après
    Princesse Mérida – Avant/Après

    Ils ne sont pas les seuls, les grandes icônes des années 80 comme Charlotte aux Fraises ont subi un relooking extrême. Même « My Little Pony » qui est quand même un animal à la base, se transforme cette année en hybride cheval-fille aux longues jambes et crinière opulente.

    Charlotte aux Fraises - Avant/Après
    Charlotte aux Fraises – Avant/Après

    Les valeurs transmises : la compétition dans l’apparence, le culte de la beauté, qu’il faut être toujours plus « hot », qu’être une potiche bien vernissée est le but dans l’existence. Quelle image effroyable et réductrice. Sans parler des garçons, que l’on élève dans l’idée sous-jacente de l’homophobie. Comment jouer ensemble si tout est défini à l’avance. Le petit garçon osera-t-il saisir le Lego rose de sa sœur sans avoir peur de passer pour une « fillette » ?

    Or le jeu est sensé aider l’apprentissage, développer l’imagination et encourager la créativité.Les enfants devraient se sentir libres de s’amuser avec les jouets qui les intéressent. Enfant, j’ai joué des heures avec des Playmobil en compagnie de mon frère et lui jouait avec moi à Super Jamie ou Barbie Fun Time (qui avait un maillot de bain une pièce rouge et pas un bikini rose). Nous intervertissions nos jouets mais il est vrai que rien n’était estampillé fille et garçon. C’était les années 70, la tolérance et l’espérance en notre futur étaient plus vastes et le marketing esclavagiste en était à ses balbutiements.

    Source : Let toys be Toys

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    Joyeuses Pâques !

    Même si la chasse aux œufs dans le jardin risque de se terminer en guerre des tranchées boueuses vu le temps pluvieux, profitez de ce long week-end pour faire de jolies découvertes comme notre amie Puki…

    Happy Easter 2013