• Autres poupées,  Convention, Expo

    Salon du Jouet de Dinan, les photos

    Il fallait se motiver pour visiter ce salon aux environs de Dinan. Les températures douces et un soleil radieux poussaient plus à la balade sur la plage.

    La recherche du trésor tenant le collectionneur au corps fait abstraction du manque de signalétique et de places de parking proches.

    Le salon est organisé par Les Amis du Rail et ça se voit. Beaucoup de stand de trains électriques, des garages, des petites voitures. A 80%, du jouet “masculin”.

    Seul le stand de la Maison de Poupée de Plancoët apportait de la féminité avec un large éventail de jouets anciens et vintage : poupées anciennes, jouets en tôle, jouets années 50, peluches Kermit ou Casimir.

    Je reproche à ce genre de salon de ne pas être assez ouvert sur le jouet moderne. Aucune Barbie en vue (à part un vêtement Ken et des tenues vintage chez La Maison de Poupée). Pas plus de Star Wars ou Lego. Et pourtant, des parents déambulaient avec leurs enfants, des Kidultes étaient à la recherche de Goldorak.

    Ce salon n’a vu que 550 visiteurs sur 2 jours soit la moitié moins que l’année passée.

  • Autres poupées

    Okiku, la poupée hantée

    En 1918,  un jeune garçon acheta pour sa petite sœur, une poupée de porcelaine aux cheveux coupés en carré court et habillée d’un kimono.

    Ce fut le coup de foudre immédiat, à tel point que la petite fille nommée Okiku, ne s’en séparait plus de toute la journée.

    Jusqu’au jour où malheureusement, un an plus tard, la petite fille décéda de la grippe espagnole.

    La famille, en souvenir de leur enfant, disposa la poupée adorée sur l’autel familial. Peu de temps après, ils virent que les cheveux de la poupée poussaient sans explication jusqu’à atteindre les genoux. Même des coupes régulières ne parvenaient pas à stopper le processus. Les cheveux continuaient de pousser au rythme de ceux d’un enfant de l’âge de la petite fille.

    Devant déménager en 1938, la famille ne put se résoudre à ce séparer de l’objet et le confia au temple de Manneji où Okiku réside encore de nos jours. Des moines entretiennent toujours sa coiffure.

    Quel étrange mystère… Les analyses ont montré que les cheveux étaient humains, tout comme l’étaient la plupart des poupées de l’époque.

    Okiku, la poupée hantée