Ma précommande de la Weird Barbie du film Barbie est enfin arrivée après plus de 6 mois d’attente. L’excitation post film est retombée et je me demande bien ce qui m’a pris de commander cette poupée.
Car je suis un peu déçue du résultat.
Je déteste absolument cette matière « k-way » de la robe qui rend l’ensemble « cheap ». J’avais craqué pour les bottes mais elles font très cheap aussi ou alors elles sont mal mises sur la jambe.
Mais ce que je déteste le plus est cette coiffure brushée et pas punk qui fait très mamie. Bon il va falloir ouvrir pour y mettre mon grain de sel.
A suivre…
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Un budget de 150 millions de dollars supérieur à celui du film pour convaincre toutes les générations.
Ce documentaire de 30 minutes met en lumière les différentes tactiques marketing de Mattel lors de la sortie du film Barbie faisant de nous des lapins pris dans les phares.
Pourtant dénoncé dans le film Barbie, le patriarcat a eu sa revanche aux nominations aux Oscars.
Alors que Ryan Gosling est nommé en tant que meilleur acteur dans un second rôle, Margot Robbie qui incarne Barbie a été snobée ainsi que la talentueuse réalisatrice Greta Gerwig, devenue la femme la plus puissante actuellement dans le cinéma.
On les aura un jour, on les aura…
Il faut croire que ça en gêne certains. La vengeance est médiocre. Le combat va être long à mener…
Etonnement de notre voisine à la vue du duo de choc, Miss Vinyl et sa copine Véronique débarquant dans la salle de ciné, looks barbiecore en compagnie de nos Barbies habillées elles aussi de rose. Nous étions excitées et hilares assumant totalement notre passion pour Barbie.
Cela fait combien de temps que nous espérons la sortie de ce film ? Des années de suspense scénaristique (après les passages éclairs de Lena Dunham, Amy Schumer) pour un film monument coloré mais pas du tout sucré ou écœurant. Une vraie pépite de cinéma.
La talentueuse réalisatrice Greta Gerwig nous fait passer par un panel d’émotions. On éprouve de la nostalgie du pur jeu d’enfant. De la tendresse à l’apparition de la « vraie » Barbara » fille de Ruth Handler qui a donné son nom à Barbie.
J’ai pleuré à l’évocation du fantôme de Ruth Handler dans les sous-sols de Mattel, et failli me lever et applaudir le monologue féministe déclamé par le personnage joué par America Ferrara. J’ai piqué un fou rire à la réplique « beach » dit avec une telle naiveté par Ken et ri jaune à l’évocation des réunions marketing du géant Mattel.
Margot Robbie alias Barbie est attachante, accessible, émouvante : l’amie éternelle, la confidente de l’enfance.
Mais la vraie star du film est Ryan Gosling. Il s’approprie entièrement le personnage et lui donne une authenticité et même une personnalité. Il assume entièrement et n’est jamais dans l’auto-dérision. On sent la sensibilité masculine revendiquée actuelle et libérée.
Le film balaie les poncifs du patriarcat avec humour mais détermination. On rit des stéréotypes lourdingues (Stallone en manteau de fourrure, John Travolta en tshirt moulant) certes, tout en étant effrayées de réaliser qu’ils nous ont été martelés depuis des siècles. Comme les Barbies du film, nous sommes victimes d’un lavage de cerveau généralisé. Par qui ? Certainement pas Mattel qui oeuvre pour la bonne santé mentale des femmes.
Et c’est là que c’est très fort. Mattel, méchant responsable de l’image de la femme-bimbo réussit à retourner l’opinion comme une crêpe. Barbie devient le témoin de transmission du féminisme. L’outil imparable par lequel les femmes vont se libérer de l’emprise patriarcale. Incroyable non ?
Moyennant quoi, nous voulons toutes la poupée Ryan Gosling avec la tête de l’acteur en manteau de fourrure et torse poil. Bon Mattel ! y’a encore du boulot !
J’ai passé un super moment. Je retournerai surement le voir car il y a énormément de références cinématographiques et pop-culture. J’étais tellement occupée à rire que je n’ai pas remarqué le milliard de placement de produits.
Ken semble avoir de grands questionnements quant à sa relation avec Barbie. Ça promet !
Ryan Gosling a accepté le rôle de Ken après avoir vu ses filles jouer à la Barbie et laisser le pauvre Ken, abandonné dans le jardin, le nez dans la boue.
Il a dit à la réalisatrice, Greta Gerwig : « Il faut faire quelque chose pour Ken ! « .
A l’occasion de la sortie du film Barbie, Margot Robbie a joué les Barbies le temps d’une avant-première coréenne.
Elle portait des tenues inspirées de la Barbie Day to Night de 1986 jusqu’au chaussures bicolores et au téléphone vintage.
Ça c’est de la communication Mattel ! Au char d’assaut ! J’ai un peu de peine pour Margot Robbie. J’espère qu’elle ne va pas être estampillée « Barbie » dans sa carrière cinématographique et ne devenir plus qu’un archétype de blondasse décérébrée. Hollywood fait souvent des raccourcis ultra rapides.
En faisant des recherches, je suis tombée sur la version noire… Irrésistible !