Quand un ordinateur joue les créateurs et invente des barbies, cela donne des objets à la fois glamour et terrifiants.
Il y a celles qui ressemblent déjà à une poupée Barbie ou MyScene ou même Christie (Viola Davis surprenante).
Taylor SwiftGigi HadidMargot RobbieSelena GomezOprah WinfreyViola Davis
Il y a celles qui gagneraient à être produites et à intégrer le monde des collectionneurs.
ZendayaKim KardashianBeyoncéRihannaAriana GrandeBillie EilishDua LipaAdèleJennifer Lawrence
Et plus surprenant encore, les « Action Men ».
Dwayne JohnsonChris EvansChris HemsworthHarry StylesRyan ReynoldsPedro PascalIdris ElbaTom Holland
Mais ce qui est troublant c’est que les « hommes » ressemblent aux acteurs, on a aucun mal à les identifier. Ils gardent leur caractéristiques esthétiques et leur personnalité.
Ceci est plus flou concernant les femmes, elles sont déjà gommées, liftées, elles se ressemblent toutes avec leurs maquillages de drag-queens, leur nez aminci, leurs pommettes hautes et leurs lèvres gonflées. Le grand manitou de la chirurgie esthétique est déjà passé sur leur visage. Elles sont déjà des poupées dans la vraie vie.
Les éditions Rizzoli annoncent un livre récapitulant les styles portés par Margot Robbie lors de la promotion du film « Barbie ».
Margot Robbie et son styliste, Andrew Mukamal, se sont inspirés des tenues les plus emblématiques de Barbie et ont sélectionné des pièces vintage, puis ont approché des créateurs comme Giorgio Armani ou Donatella Versace pour recréer des looks Barbie.
Beaucoup de ces looks n’ont pas été vus car les sorties presse « Barbie » a été écourtées. L’actrice et son styliste ont donc travaillé avec le photographe de mode Craig McDean, pour offrir un large panel de looks.
Pourtant dénoncé dans le film Barbie, le patriarcat a eu sa revanche aux nominations aux Oscars.
Alors que Ryan Gosling est nommé en tant que meilleur acteur dans un second rôle, Margot Robbie qui incarne Barbie a été snobée ainsi que la talentueuse réalisatrice Greta Gerwig, devenue la femme la plus puissante actuellement dans le cinéma.
On les aura un jour, on les aura…
Il faut croire que ça en gêne certains. La vengeance est médiocre. Le combat va être long à mener…
Etonnement de notre voisine à la vue du duo de choc, Miss Vinyl et sa copine Véronique débarquant dans la salle de ciné, looks barbiecore en compagnie de nos Barbies habillées elles aussi de rose. Nous étions excitées et hilares assumant totalement notre passion pour Barbie.
Cela fait combien de temps que nous espérons la sortie de ce film ? Des années de suspense scénaristique (après les passages éclairs de Lena Dunham, Amy Schumer) pour un film monument coloré mais pas du tout sucré ou écœurant. Une vraie pépite de cinéma.
La talentueuse réalisatrice Greta Gerwig nous fait passer par un panel d’émotions. On éprouve de la nostalgie du pur jeu d’enfant. De la tendresse à l’apparition de la « vraie » Barbara » fille de Ruth Handler qui a donné son nom à Barbie.
J’ai pleuré à l’évocation du fantôme de Ruth Handler dans les sous-sols de Mattel, et failli me lever et applaudir le monologue féministe déclamé par le personnage joué par America Ferrara. J’ai piqué un fou rire à la réplique « beach » dit avec une telle naiveté par Ken et ri jaune à l’évocation des réunions marketing du géant Mattel.
Margot Robbie alias Barbie est attachante, accessible, émouvante : l’amie éternelle, la confidente de l’enfance.
Mais la vraie star du film est Ryan Gosling. Il s’approprie entièrement le personnage et lui donne une authenticité et même une personnalité. Il assume entièrement et n’est jamais dans l’auto-dérision. On sent la sensibilité masculine revendiquée actuelle et libérée.
Le film balaie les poncifs du patriarcat avec humour mais détermination. On rit des stéréotypes lourdingues (Stallone en manteau de fourrure, John Travolta en tshirt moulant) certes, tout en étant effrayées de réaliser qu’ils nous ont été martelés depuis des siècles. Comme les Barbies du film, nous sommes victimes d’un lavage de cerveau généralisé. Par qui ? Certainement pas Mattel qui oeuvre pour la bonne santé mentale des femmes.
Et c’est là que c’est très fort. Mattel, méchant responsable de l’image de la femme-bimbo réussit à retourner l’opinion comme une crêpe. Barbie devient le témoin de transmission du féminisme. L’outil imparable par lequel les femmes vont se libérer de l’emprise patriarcale. Incroyable non ?
Moyennant quoi, nous voulons toutes la poupée Ryan Gosling avec la tête de l’acteur en manteau de fourrure et torse poil. Bon Mattel ! y’a encore du boulot !
J’ai passé un super moment. Je retournerai surement le voir car il y a énormément de références cinématographiques et pop-culture. J’étais tellement occupée à rire que je n’ai pas remarqué le milliard de placement de produits.
A l’occasion de la sortie du film Barbie, Margot Robbie a joué les Barbies le temps d’une avant-première coréenne.
Elle portait des tenues inspirées de la Barbie Day to Night de 1986 jusqu’au chaussures bicolores et au téléphone vintage.
Ça c’est de la communication Mattel ! Au char d’assaut ! J’ai un peu de peine pour Margot Robbie. J’espère qu’elle ne va pas être estampillée « Barbie » dans sa carrière cinématographique et ne devenir plus qu’un archétype de blondasse décérébrée. Hollywood fait souvent des raccourcis ultra rapides.
En faisant des recherches, je suis tombée sur la version noire… Irrésistible !
Jamieshow nous régale une nouvelle fois d’une collection de poupées en résine taille 40 cm dont le corps est identique à celui de Gene ! De quoi renouveler son dressing.
Jamieshow ayant stoppé sa collaboration avec Mel Odom pour la production de poupées Gene, il a la bonne idée d’éditer une poupée BJD dans le style de Gene.
Caroline et son regard romantiqueLiz et son regard magnétiqueMarlena et son regard mélancolique
Grace à un corps possédant la mensurations de Gene, on peut les revêtir de la vaste garde-robe existante de Gene ou s’offrir de nouveaux modèles.
Dommage que les accessoires (sacs et chaussures) ne soient pas vendus séparément. J’adore cette collection et aurais aimé la distribuer du temps de Miss Vinyl.
Collection Retro-Glam – En précommande jusqu’au 20 mai. Poupée nue – 475$ Tenue à partir de 150$