Il y a bien trop assez d’horreur en ce moment pour vous présenter un tableau gore, je vous la fais « tout mignon et moelleux comme une tarte à la citrouille« … que je ne ferai pas ce soir car au pied de Puki réside le seul résultat de mes plantations ! sécheresse oblige.
L’horreur je l’avais choisie pour le bal country. J’adore me déguiser et cette année j’ai opté pour la prêtresse vaudou et mon mari avait une belle araignée au plafond ! 🕷
Barbie en version luxe pour un superbe coffret révélant un étonnant manteau de la créatrice chinoise Guo Pei.
Guo Pei Barbie
Il vous faudra débourser quelques 250€ (hors port et douanes) pour acquérir cette surprenante création portée courageusement dans la vraie vie par Rihanna lors du Met Ball en 2015 (la robe pèse 25kg et a nécessité 6000 heures de travail).
Il en résulte que cette robe a été surnommée « la robe omelette » !
Qui ressemble à s’y méprendre à la très fidèle Rachel Hoffman, grande prêtresse de la Virtual Doll Convention et accessoirement nouvelle muse de Robert Tonner.
Ben oui il a bien raison de ne bosser que pour une seule personne qui a le chic pour flatter son ego ou faire de la lèche (au choix) – (everything is AMAZIINNNNGGG ! selon madame) plutôt que de stupides revendeurs travaillant au fond de leur mine à vendre des poupées de moins en moins vendables et qui plus est, n’ayant certainement pas le temps ni l’envie de lui jeter des roses.
Bientôt 4 ans après, je n’ai toujours pas digéré cette opération kamikaze qu’a été la fin de Tonner Dolls.
Cette année, cette campagne de prévention contre le cancer du sein a une signification toute particulière dans mon entourage proche.
Si je n’ai pas donné de nouvelles dernièrement, c’est que j’ai du accompagner ma chère maman (83 ans) dans le tourbillon éreintant qu’est le traitement de cette maladie.
Peut-il en être autrement ? Prendre ce diagnostic comme un uppercut bien méchant. La folie d’un mois de tests en tous genres et d’une intervention chirurgicale laisse place à un épuisement moral. Court répit avant l’artillerie lourde de la radiothérapie.
Si je vis cela intensément c’est que je suis très fusionnelle avec ma mère. Je veux être là à chaque étape pour la soutenir physiquement et moralement. Fort heureusement, tout ceci a été pris à temps et l’avenir semble se profiler sous de bons auspices.
Ma belle-mère subit également ce triste sort depuis un an et nos coups de fils se résument hélas, la plupart du temps, à de comptes-rendus médicaux. Malgré cela, le sens de la famille, l’amour filial font que le quotidien lui semble plus facile à supporter.
La dialogue avec les amies m’a permis de canaliser toutes ces émotions. Les poupées et la photo ont été un exutoire, un refuge aussi, peut-être.
Barbie est de retour en version Barbiecore pour ce 4ème opus.
Dans la large palette des roses, Barbie la joue « shocking » dans une robe asymétrique. L’accent est cette fois mis sur les bottes comme le souligne son créateur Robert Best.
Mais pourquoi les bottes ne sont-elles pas roses ?
Puisque le principe du Barbiecore est d’être en total look rose.
Cet accent noir me choque et alourdit l’ensemble. Pourtant je trouve le visage sublime (sculpt Lina) ainsi que la coiffure.
Mais le prix refroidit mon ardeur : 195$ (avec un dollar cher) pour robe on ne peut plus banale. De plus, les boucles d’oreilles longilignes ne vont pas avec la chevelure bouclée.