Barbie

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    Barbie met en avant les femmes

    Mattel combat toujours les idées reçues et notamment le fait que les filles ne pourraient accéder à tous les métiers ou sports.

    Ce groupe de femmes à travers le monde a prouvé le contraire et Mattel leur rend hommage à sa façon en créant une poupée à leur effigie.

    De gauche à droite : Maya Gabiera – Surfeuse (Brésil) ; Naomi Osaka -Joueuse de Tennis (Japon) ; Kristina Vogel – Championne cycliste (Allemagne ; Tessa Virtue – Patineuse (Canada) ; Yara Shahidi – Actrice (Etats-Unis) ; Adwoa Aboah – Activiste et Top Mode (Royaume Uni) ; Dipa Karmakar – Gymnaste (Inde) ; Chen Man, Photographe (Chine) ; Ita Buttrose – Journaliste (Australie).

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    La Barbie de convention du PFDF 2020

    Virage à 180° pour les traditionnelles Barbies de convention 2020. Nouveau style, nouveau design.

    Même si le coronavirus a atteint l’univers des collectionneurs puisque que le dimanche des ventes du Paris Fashion Doll Festival a été annulé, Mattel a néanmoins dévoilé la poupée de convention lors du repas du samedi.

    C’est un tournant significatif. Le style est audacieux et totalement nouveau. On doit cela au styliste de la maison Mattel, Carlyle Nuera (dont j’apprécie particulièrement le talent qui remue un peu les vieux standards).

    Et en parlant de vieux standards, Mattel a dévoilé les jolis croquis d’une nouvelle silkstone à venir, créée par Robert Best.

    Les amis, ça sent le réchauffé !

    Vous vous dites que vous avez déjà vu ça quelque part… Entre Black Enchantement et Fashion Boulevard ?

    Mais c’est ce qui a fait la grande gloire de nos collections et que nous regrettions l’an passé et c’est toujours mieux que ça…

    Par la même occasion, Mattel a aussi montré la Barbie de convention du Japon, événement lui aussi annulé en raison de la pandémie.

    Je suis fan des coupes novatrices mais un peu moins du look monochrome, cher à Mattel en ce moment en ces périodes de disette économique, mais terriblement ennuyeux et de ma propre expérience, annonciateur de flops retentissants. Quand les fabricants commencent à réduire la créativité colorimétrique (Gene Ashton Drake, Tonner, etc…) c’est que ça sent le sapin !

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    Barbie célèbre la femme la plus rapide du monde

    Suivant sa politique de femmes inspirantes, Mattel honore la sprinteuse britannique Dina Asher-Smith d’une barbie à son effigie

    L’athlète de 24 ans, Dina Asher-Smith est ravie et espère que cela inspirera de nombreuses petites filles à se lancer dans le sport.

    Dina détient le record britannique au 100 m en 10.83 secondes, du 200 m en 21.88 secondes et du 4 x 100 m en 41.77 secondes.  

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    Barbie aux Jeux Olympiques

    Mattel célèbre les Jeux Olympiques de Tokyo 2020 en créant une ligne spécialement dédiée aux célébrations.

    Cette gamme de produits internationalement distribuée sera disponible au printemps. Sont mises à l’honneur les valeurs d’inclusivité (nouveau fer de lance de Mattel) et d’innovation englobant les 5 nouveaux sports ajoutés au programme olympique de Tokyo (baseball/softball, escalade, karaté, skateboard et surf). Le but étant d’inspirer une nouvelle génération d’athlètes et de fans à travers le monde.

    Médaille d’Or donc pour le marketing Mattel !

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    Barbie se diversifie

    Mattel a fait appel à la styliste Shiona Turini (ex rédactrice de mode pour Cosmopolitan) pour diversifier les lignes et les idées.

    Son inspiration vient de styles déjà existants qu’elle même pouvait porter.

    Pour la collection  » black « , elle s’est inspirée de l’histoire des activistes américains.
    Inspiration First Black Barbie pour la collection rouge
    Inspiration Sorbet et Ice Cream pour cette collection
    Inspirée par le film  » Queen & Slim  » et peut-être aussi par Kim Kardashian

    La styliste se souvient de ses jeunes années et de sa joie à découvrir une Barbie noire (First Black Barbie) avec un teint foncé et une coiffure afro.

     » Barbie est une marque historique qui a été inclusive avant que cela ne soit à la mode «  dit-elle.

    Shiona Turini en compagnie de Carlyle Nuera (Mattel)
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    Barbies Nouveautés

    Barbie Ella Fitzgerald – Inspiring Women
    Florence Nightingale – Inspiring Women
    Billie Jean King – Inspiring Women
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    Mattel ne veut plus voir rouge

    La multinationale a décidé de limiter son nuancier pour faire des économies.

    Bye Bye le rouge

    Mattel utilise plus de 150 nuances de rouge aussi bien pour Barbie que pour Hot Weels. Afin de réduire le coût de stockage des encres, Mattel opère une simplification de toutes ses couleurs.

    « La complexité est vraiment mortelle », a déclaré Roberto Isaias, directeur de la chaîne d’approvisionnement de Mattel.

    L’objectif est d’améliorer, de moderniser et, au final, de dompter une chaîne d’approvisionnement tentaculaire qui exploite 13 usines, emploie jusqu’à 35 000 personnes et livre des jouets dans 375 000 points de vente dans le monde entier. Il faut consolider ou vendre certaines usines et refaire de Mattel un fabricant de jouets capable de réagir aux nouvelles tendances.

    L’entreprise a déjà changé sa façon de vendre à ses détaillants. En Europe, Mattel a mis en place un système automatisé de commande en ligne pour les commandes en gros, éliminant ainsi le traitement manuel des commandes. Il a également augmenté la valeur minimale des commandes de sorte afin d’éviter les envois fréquents de petites commandes. « Cela a clairement abouti à une proposition non rentable », a déclaré M. Isaias.

    A un moment, Mattel a déplacé la production de la Barbie Dreamhouse – jouet signature de près de 200$ – du Mexique au Vietnam. Les chiffres montraient une économie de 7%. Mais l’arrêt de la chaîne de production du Mexique signifiait un coût d’exploitation à répartir sur les articles de l’usine vietnamienne. On a donc augmenté les autres articles de la gamme.

    Dreamhouse made in Vietnam

    Mattel effectuera une coupe de 30% dans sa production. Moins d’articles à produire aidera à éliminer de nombreuses nuances accumulées au fil des années. Mattel a déclaré que les créateurs n’ont pas besoin que de nombreuses couleurs.

    Avoir moins de nuances de rouge, de bleu ou de jaune ne sera guère perceptible pour les consommateurs, a déclaré Mattel.

    #jemetireuneballedanslepied(chaussetté)

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    Carol Spencer, l’immense l’influenceuse de 88 ans

    Fan de Barbie, ce patronyme ne vous est pas inconnu. Il a marqué les plus belles années de notre poupée préférée. Carol Spencer a fait des robes de mariée, des saris, des robes à épaulettes géantes et des caftans. Le tout en miniature. De 1963 à 1999, elle a été la créatrice de mode de Barbie, une carrière célébrée dans son nouveau livre, « Dressing Barbie » (HarperDesign).

    Carol Spencer chez elle

    Cette pétillante et coquette vieille dame toute habillée de rose a découvert son goût pour la mode enfant, en créant des poupées de papier dans des pages de journaux. Elle en vint naturellement à la création de vêtements. Mais à cette époque, une femme avec des désirs de créatrice de mode ne pouvait rarement atteindre ses rêves. Au mieux pouvait-elle espérer devenir infirmière, secrétaire, institutrice. Devenir épouse et mère était le plus courant.

    Elle s’est fiancée à un étudiant en médecine et a compris rapidement que son rôle se bornerait à soutenir la carrière de son futur mari. Elle rompt les fiançailles et s’inscrit à une école d’Art et de Design.

    A l’approche de son diplôme de fin d’études, elle apprend qu’elle est prise en stage en temps que rédactrice chez le magazine féminin « Mademoiselle« . Qu’à cela ne tienne ! d’un coup d’avion, là voilà à New York sans attendre la remise de son diplôme.

    En 1962, elle répond à une offre d’emploi mystérieuse d’une grande compagnie qui recherche un créateur. Envoi de cv, pas de nouvelle… Sentant que sa destinée était liée à ce job, elle n’hésite à traverser la moitié des Etats-Unis en voiture ! Cette opportunité se représentera par l’intermédiaire de Mattel en 1963. Lors de son entretien d’embauche, on lui demande de créer quelques pièces. Elle remporte la mise avec une tenue de plage.

    À cette époque, Mattel créait 125 tenues différentes par an et le département de la mode, dirigé par Charlotte Johnson, pourrait être intransigeant.

    « Charlotte avait une théorie, dit Carol.  » Si vous avez quatre créateurs, vous les mettez dans les quatre coins d’une même pièce ! . L’ambiance était très compétitive, vous deviez  » pitcher « , vendre votre produit. Parfois, ce n’était pas très catholique » .

    Il en résultera Country Club Dance, From Nine to Five et Debutante Ball.

    Ses bases d’inspiration : la culture qui l’entoure comme l’engouement pour Jane Fonda et sa période aérobic, la NASA quand Barbie est devenue un astronaute.

    Il y a eu des erreurs aussi ! Dr Barbie et sa mallette de pilules roses sans savoir qu’à l’époque les amphétamines avaient cette couleur !

    Carol a à son effectif, des centaines de créations de tenues sans qu’on le sache. A l’époque Mattel ne créditait rien. Et elle se rappelle (et possède chez elle) chacun d’unes.

    Comme elle le dit si simplement  » Je ne suis jamais seule chez moi, Barbie est toujours là avec moi « .

    Dressing Barbie: A Celebration of the Clothes That Made America’s Favorite Doll and the Incredible Woman Behind Them (Anglais) Relié 160 pages – par Carol Spencer

    Amazon.fr