• Style

    Musée Dior Granville 2021

    Me voilà partie pour mon pèlerinage annuel après le hiatus de l’année dernière. La journée est exceptionnellement chaude et je bous littéralement d’impatience de retrouver un peu de culture.

    La situation sanitaire a au moins ça de bon, c’est que l’on est obligé de réserver pour visiter. On est donc tout à son aise pour traîner sans avoir à jouer des coudes et, fait appréciable, on peut prendre des photos (sans flash).

    La première surprise est de constater la disparition des magnifiques parterres foisonnant de couleurs et de parfums remplacés par de strictes plantations de rosiers “Jardin de Granville” (spécialement créés pour le musée). Dommage, je ne verrai pas l’expositionimpressionnisme de la nature ! Mais le jardin est tout aussi magique. Il y règne une quiétude à la limite du sacré.

    [metaslider id=18193 cssclass=””]

    Cette année, le thème est la rose sous toutes ses déclinaisons, une muse omniprésente chez Christian Dior, et sublimée par les femmes corolles.

    Roses en boutons – Une enfance au jardin

    [metaslider id=18207 cssclass=””]

    La Colle Noire, un rêve de nature

    [metaslider id=18230 cssclass=””]

    Rose de Paris

    [metaslider id=18249 cssclass=””]

    Catherine Dior, pour l’amour des roses

    [metaslider id=18256 cssclass=””]

    La plus douce des couleurs

    [metaslider id=18301 cssclass=””]

    La rose des sables et le surréalisme

    [metaslider id=18269 cssclass=””]

    Roses Pop

    [metaslider id=18280 cssclass=””]

    La rose d’or

    [metaslider id=18316 cssclass=””]

    Femme Fleur, Femme Rose

    [metaslider id=18325 cssclass=””]

    Stars en Rose

    [metaslider id=18332 cssclass=””]

    Bouquet de roses – Aux noms de la rose

    [metaslider id=18347 cssclass=””]

    Juin est la saison idéale pour sentir les roses. J’ai mon calepin en main pour noter les noms des rosiers (Eclat d’Ambre, New Dawn, Bisous d’Amour, Mme Boll, etc..). Car je compte créer à l’automne, une roseraie dans ma campagne des Côtes d’Armor. Terrain orienté comme il faut, bien meuble. Je tiens de ma mère la passion des roses et je compte mettre en place un petit paradis dédié aux parfums où il fera bon s’y attarder dans mes vieux jours.

    Et quel plaisir de retrouver le catalogue de l’exposition dans la boutique du musée !

    Musée Christian Dior – Granville
    du 5 Juin au 31 Octobre 2021
    Entrée : 9 euros

    musee-dior-granville.com

    Dior en Roses – Editions Rizzoli – 164 pages – 35 €

  • Autres poupées,  Doll Business,  Tonner

    Robert Tonner et l’Evolution de la poupée moderne

    Lors de la Virtual Doll Convention qui s’est tenue ce week-end, Robert Tonner a dressé un historique de la poupée moderne en s’attardant sur les grands sculpteurs, créateurs des standards de cette industrie.

    A l’aide d’un diaporama, le créateur de Tonner Dolls, lui aussi partie intégrante de cette histoire, nous présente les talentueux sculpteurs de têtes.

    De Bernard Lipfert (Shirley Temple, Cissy…), Neil Estern (la plupart des poupées Ideal), Max Weissbrodt (Bild Lilly), Mattel bien évidement, Agop Agerpoff (Betsy McCall), Martha Armstrong-Hand (Mattel années 60 et 70), Joyce Christopher (les poupées Star Wars Kenner, Darci…), nous avons eu a une époque ou une autre, leurs créations entre les mains.

    Techniquement parlant, les révolutions se font par le plastique dur, puis les cheveux lavables, la poitrine formée, les pieds en arche. Barbie a été la révolution la plus planétaire. Mais Tonner note également les déflagrations dans le monde de la poupée faites par Gene, Bratz, Ellowyne Wilde ou les Smart Doll de Danny Choo et en prédisant que l’avenir de la poupée passera par l’hyper-réalisme (Hot Toys par exemple) avec pour outil principal la sculpture 3D.

    Bizarrement, il passe sous silence sa propre compagnie Tonner Dolls, comme si Tyler ou Sydney n’avait pas changé la face de cette industrie !

    Pour visionner cette vidéo, vous pouvez activer les sous-titres en français (traduction google automatique) donc approximative. Je ne vous traduirai pas cette fois-ci cette video d’une demie heure remplie de “ fabulous, amazing, beautiful, etc…”, les photos et les sous-titres suffisent.