Je n’ai pas sauté sur mon clavier pour vous faire part de ma visite au salon car peu de choses ont retenu mon attention.

Ma visite à très mal commencé. Dans les premiers mètres, toute contente de trouver un stand composé de jouets des années 60/70 me plongeant dans la nostalgie à la vue de poupées « Heidi« , je ne réfléchis pas et me saisis de mon smartphone pour immortaliser cet instant fugace.

Erreur ! C’est sans compter sur une diablesse qui a bondissant de derrière son stand (elle était cachée par ses étagères) et m’agressant d’un rageur « et le droit à l’image, vous auriez pu demander ! ».

Je lui explique que je rédige un blog personnel sans intérêt financier et qu’en plus elle n’est pas sur la photo. Elle n’en démord pas ! Un bref instant, mon autre moi s’est vu lui foutre son stand par terre ! Si j’avais du réagir comme ça à chaque fois que j’ai fait des salons en tant que Miss Vinyl, j’aurais fait une attaque !

Sérieux ! on se calme, ce ne sont que des jouets pas des sacs Vuitton. Le droit à l’image pour les « humains » ok, pour les objets produits en masse !?!

Bref, le tour fut rapide car le salon est dominé par les petits trains et voitures (les Amis du Rail sont les organisateurs).

Le toujours très impressionnant stand de La Maison de Poupée de Plancoët était présent avec de belles barbies vintage en boîte d’origine et une Simon & Halbig japonaise qui m’a laissée sans voix.

Deux autres stands présentaient de la poupée sont celui de Samy Odin (que je n’ai pas osé photographier).

Pour ma part, je n’ai trouvé qu’un couple de petites poupées sans valeur mais la petite mamie qui les vendait était charmante et touchante.