Nous avons la petite souris pour glaner les quenottes, les américains ont une fée. La barbie commémorative d’un tel évènement dans la vie d’un enfant est une vraie tradition chez Mattel.
Cette année, Mattel s’est surpassé : visage Karl, corps Model Muse articulé. Je trouve le visage particulièrement délicat encadré par cette belle chevelure platine.
Elle serait parfaite relookée si seulement on pouvait l’acquérir en France !
Barbie s’improvise « influence et tuto maquillage » avec ce set comprenant de nombreux accessoires et l’indispensable miroir Hollywood.
Les accessoires sont en partie déjà vus (bracelets, pochettes, lunettes). La nouveauté réside dans la tenue de ville avec paraboots, crop top et blazer court. Ce vert « lime » ne va pas spécialement avec le blond californien de Barbie.
Que dire de la robe de gala… Je suis pourtant fan des robes « sirène » mais je trouve la satinette « cheap » et ce motif totalement déprimant.
Ce qui va intéresser les collectionneurs est la console et son miroir à Led. Mais ça fait cher l’accessoire tout de même.
Cette convention s’est tenue la semaine dernière à Chicago sur le thème des années folles.
Le changement est de taille chez Mattel, ce n’est plus Robert Best qui a œuvré au design de ces 2 Barbies exclusives mais Carlyle Nuera.
Il en résulte d’un design totalement nouveau qui bouscule un peu nos petites habitudes.
L’influence est la pop culture actuelle, Josephine Baker et Anna May Wong.
Les bruits ont couru que Robert Best (actuel vice-président de Mattel Usa) n’est plus en charge de la ligne silkstone, laissant la place à Carlyle Nuera, le designer star de la marque.
En ce moment, je suis à fond dans la finalisation de notre projet de rénovation de maison. Presque 2 ans déjà que nous avons emménagé. Et si au premier abord la maison était habitable et ne nécessitait que quelques travaux d’aménagement et/ou de décoration, elle nous a révélé quelques (mauvaises) surprises.
En fait, il a fallu refaire toute la plomberie et l’électricité faite par les précédents propriétaires ; de grands amateurs on va dire. 2 ans de travaux pour en faire un grand nid douillet.
Je peux vous dire que le placo n’a plus de secrets pour moi et que je maîtrise une grande partie des outils du parfait bricoleur et autres instruments de torture.
Une partie de la maison (datant du 18ème siècle) avait été laissée à l’état de « en cours de rénovation » par les anciens propriétaires. C’était en fait l’ancienne étable où l’on mettait les chevaux. J’y ai vu ma future dollroom, un jardin secret, un endroit rien qu’à moi (Monsieur ayant aussi sa partie consacrée à sa passion des voitures). C’était le deal (chacun son coin pour éviter de devoir supporter des barbies dans la chambre et des moteurs dans la cour).
J’ai quand même du céder une partie de cet espace pour y placer une buanderie mais ça me laisse une belle surface à exploiter.
Depuis lundi, je me suis attaquée aux montants en granit de l’immense cheminée, couverts de suie et de terre. Idem pour les poutres qui n’ont pas du voir une brosse depuis 2 siècles.
Ensuite, il faut reprendre les très grossiers joints de placo faits précédemment, remettre des plaques de placo, faire les joints, les poncer tout ça 3 fois, poncer le plafond (je déteste), peindre les murs en 2 couches, le plafond idem, passer une huile blanche au pinceau sur le parquet, couper et coller les plinthes.
Je vous ai saoulé ? Désolée, ça me saoule aussi d’autant plus que j’ai fait de même pour le salon, la cuisine, le dressing et la salle de bains. Donc là, je peux dire qu’àprès la buanderie et la dollroom, je vais enfin pouvoir souffler et essayer de retrouver le fonctionnement normal de mes épaules et genoux.
Je me languis du jour où je vais pouvoir enfin sortir mes poupées des cartons. 2 ans qu’elles attendent. Cela va être Noël à chaque minute.
Bon, j’ai un peu menti, il me reste la partie de l’étage au-dessus (mur en pierres brutes, pas de chauffage, pas d’isolation) à rénover pour en faire mon futur studio photo/atelier de peinture. Mais ça, ça sera pour quand j’aurai oublié la pénibilité des travaux de réno.
Dans mes rêves, ma dollroom ressemblerait à ceci (sauf que j’ai beaucoup plus de poupées) :
La suite et l’évolution des travaux dans peu de temps, je l’espère !
Vous trouvez pas que l’air ambiant rappelle la moiteur des tropiques aujourd’hui ?
Barbie a revêtu la tenue rêvée pour ce type de climat, un caftan qui laisse passer le peu d’air qui circule. Il fait 36° à Plancoët. Je fuis la plage pour la fraîcheur de ma maison en pierres.