• Barbie

    BFMC Best to a Tea – l’avis de Miss Vinyl

    Je ne sais pas résister à une barbie noire et encore moins quand elle est habillée d’une tenue inspirée de la haute couture.

    Comme j’ai pu le constater durant mes dernières années Miss Vinyl, Mattel tire sur les prix et forcément sur la qualité.

    • Le tissu n’est un tweed mais un tissé me rappelant les canapés des années 60 ou serpillière comme certains me l’ont fait remarquer,
    • Ce n’est pas tant cela qui me choque mais plutôt les proportions. La silhouette claire est systématiquement interrompue par du court et du foncé (les bottines, les gants). La ceinture (que j’ai pris au début pour le ruban maintenant la poupée) casse la ligne de la jupe. Je vous conseille de l’ôter (elle est indépendante fermée par un velcro),
    • Le maquillage chargé, encore plus prononcé sur sous les spotlights, lui donne un air absent voire idiot.
    • La voilette est bien trop raide.

    Par contre, le chemisier est sublime. Mais comme toujours, quand une poupée est moyenne, je trouve un moyen de la détourner et de m’amuser avec. A suivre…

    Note : 6/10

    CDiscount – 104,58 €

    www.cdiscount.com

  • Barbie,  Style

    Here comes the sun…

    Relooking pour la Barbie BMR1959

    Barbie porte :
    Robe vintage Magic Curl Barbie 1980
    Chapeau : Encarna Olivas
    Chaussures : Barbie Fashionistas

  • Barbie

    BMR1959, les photos

    Je n’ai pas tout de suite accroché au style  » street «  de cette collection mais je n’ai pas oublié c’est que justement Mattel a toujours su coller à l’air du temps. présent et a su remarquablement traduire cette tendance boyish dans la mouvance  » Billie Eilish « , où les frontières fille/garçon se troublent.

  • Autres poupées

    Ne me jugez pas…

    C’est clairement la poupée la plus étrange que l’on m’a offerte… Et je dois celà à l’humour « geek » de mon frère.

    Voilà 2 ans que j’ai reçu ce cadeau à Noël, une poupée taille Ken à l’effigie de Vladimir et j’avoue que je ne savais pas trop quoi en faire. La ressemblance est hallucinante et je ne pouvais que détourner l’image de l’homme d’Etat.

    Je l’ai imaginé ex-espion (ce qu’il a été) mais ayant un peu tourné mal… Des missions sans intérêt, l’ennui, l’argent facile en ont fait un nouveau riche qui s’emmerde dans une société de consommation.

    A suivre…