Orange Toys édite une collection de mignonnes poupées en tissu au regard angélique et à la garde robe tendance.
J’avais découvert cette marque lors de mes visites au salon de Nuremberg à l’époque où ils éditaient des collections de peluches animales habillées streetwear.
Cette fois-ci, il s’agit d’adorables fillettes mesurant 32 cm avec un corps en tissu flexible et des cheveux cousus. Elles sont lavables à la main à 30°.
Une petite Integrity Toys qui rejoint ma collection.
J’ai craqué pour sa peau d’ébène et sa coiffure à la Mickey, sans compter le très chic tailleur style Chanel. Déboxage pour bientôt.
Je compte me réinscrire au WClub Integrity Toys qui permet d’acquérir des exclusivités par le biais de loterie ou de convention en ligne. Tout ne m’intéresse pas (mon porte-monnaie ne survivrait pas…) aussi je vous ferai part des nouveautés. Si cela vous intéresse, il suffira de me contacter.
Les aléas des loteries du W Club de Integrity Toys font que vous vous retrouvez avec plus que je vous ne le souhaitiez.
Je mets donc en vente deux magnifiques poupées éditées à 750 ex chacune. Elles ont été imaginées sur le thème des standards de la télé américaine soit un soap opera à la Dynasty.
Créées par Robert Tonner et produites en 2003 par Ashton Drake (les producteurs de Gene Marshall), ces poupées Miss Seventeen de 15,5 pouces possèdent la pâte de son génial sculpteur.
La collection faisait référence au magazine de mode américain « Seventeen » et proposait différents modèles de « prom dress » suivant les époques.
J’ai mis ces poupées en vente mais plus je les regarde plus je les trouve fantastiques. Je n’ai jamais osé les déshabiller, ce qui fait que je n’y ai pas accordé beaucoup d’attention. Peut-être vais-je le regretter !
Mes poupées Miss Seventeen
Update : Je n’avais jamais tenté mais en fait, elles s’habillent parfaitement avec des tenues pour corps Tyler classic idem pour les chaussures.
Journée que j’exécrais étant célibataire mais dans laquelle je me vautre désormais, à la limite de la niaiserie. Je glorifie tous les clichés et poncifs du genre… L’Amour rend bête mais c’est délicieux.