L’été est là et la corvée des devoirs de vacances va être grandement allégée grâce à Barbie.
Occuper ses enfants ou petit-enfants à la confection de vêtements pour Barbie. Les photos sont sympas et les tenues actuelles et les poupées récentes. Les patrons à découper sont à échelle réelle.
Un livre de coloriage au numéro, ça m’aurait bien tentée mais les numéros sont vraiment écrits petits pour des quinquas. Et de toute manière, je n’ai jamais sur rester dans les traits !
Integrity Toys va à l’encontre de tout ce qui se fait actuellement sur la marché ! Une profusion de luxe et d’opulence là où d’autres rabotent à tout va.
Grosse prise de risque dans cet avenir incertain de tarifs douaniers en dents de scie mais Integrity Toys joue la gagne auprès de ses collectionneurs.
En référence au génie de la Haute Couture qu’est John Galliano et la collection Madame Butterfly, Integrity lance un coffret absolument parfait et fait pour jouer (le corps est un corps Poppy Parker).
Christian Dior – Collection PE 2007Christian Dior – Collection PE 2007
FR Monogram Popular – 199$ + 26$ de surplus douane – pour membre du W Club seulement.
La nouvelle collection Masterpiece se dévoile et mérite amplement son nom. Quelle plus belle inspiration que les grands maîtres de la peinture !
Quatre BJDs 12″ dont une nouvelle Céleste et toujours la très populaire Astrid. Gabriel est particulièrement envoûtant.
Les tenues sont créatives et originales. Moi qui d’habitude regardais à peine les vêtements à cause de leur prix, je me mets à les reconsidérer (il va falloir me séparer d’une partie de ma collection…. aïe aïe).
❤️❤️❤️❤️
Et toujours des accessoires fantastiques.
Concernant les fameux tarifs Trump, nous européens ne sommes pas concernés, car les articles Jamieshow sont directement expédiés de Chine via un dépositaire en Europe, éliminant ainsi les frais de douane.
Collection Masterpiece – En précommande jusqu’au 3 Mai – Livraison fin 2025
Annoncée depuis un bout de temps, Barbie Claudia Schiffer entre dans la légende Mattel.
Il est à parier qu’il va falloir se battre pour obtenir le top model des années 90.
Dixit Mattel, « un grand soin a été apporté à sa tenue Versace… « . Voyons voir…
Effectivement le lycra vaguement irisé est à se pâmer, tout comme les shoes en plastoc et oh! magnifique l’absence de boucles d’oreilles. Tout ça pour 100$ ! Je m’agenouille et je baise les pieds de la world company. Autant de respect pour le collectionneur, j’ai envie de pleurer de joie !
En fait, autant larmoyer de dépit. Encore une poupée monochrome avec rien mais rien. Minimalisme revendiqué ? Que nenni ! Réduction des coûts pour les pigeons. Voilà notre avenir, des poupées célébrités avec une robe Fashionista.
C’est quand même dommage de payer 100$ une poupée qu’il faut sortir de boîte pour la relooker ! Car, on aurait plutôt aimé ça :
Supermodel Claudia Schiffer Barbie Doll in Versace – En précommande le 29/11 – 100$
C’est mon pèlerinage annuel, la visite du musée Dior. Cette année est consacrée aux chapeaux et au chapelier fou de John Galliano : Stephen Jones.
Faire la visite en mai double le plaisir car la roseraie est en pleine éclosion. Le temps était splendide, un ciel azur, un vent frais et une forte envie de se divertir et de sortir de mes travaux. Un peu de raffinement, c’est tellement agréable.
Les chapeaux, voilà un type d’accesoire que l’on voit rarement. Je les adore, dommage que maintenant se munir d’un couvre-chef équivaut à une provocation outrancière. Que de regards persistants ! C’est tout juste si on ne nous pense pas échappés de l’asile psychiatrique.
Avant la guerre, il était hors de question, pour une femme, de sortir « en cheveux » ! Le conflit ayant changé les habitudes des femmes, Dior les convainc en dessinant de petits chapeaux légers, faciles à attacher et à porter.
Les croquis du maître sont magiques. Tout est parfait, du coup de crayon au design du bibi. Stephen Jones a réalisé des modèles directement inspirés des dessins de Christian Dior.
Il y a une belle collection de chapeaux (les plus étonnants étant ceux de Galliano) mais pas à leur avantage. Déjà, il est impossible de lire les étiquettes dans la pénombre du musée (obligatoire afin de protéger les étoffes). Il n’y a pas de numéros, de silhouettes… bref, on ne sait pas ce qu’on regarde. Il n’y a qu’au dernier étage que l’on trouve des numéros mais les explications sont sur les côtés des vitrines !
Ce qui est frustrant aussi est le peu de modèle haute couture par rapport à d’habitude. Par contre, la plupart des modèles sont de John Galliano et c’est un régal pour les yeux.
La visite est assez rapide. Heureusement, on peut flâner à loisir dans le jardin et humer toutes les belles roses (un peu souffrantes de la chaleur). Le jardin aussi a changé. Avant, il y avait des parterres de fleurs très variées, des explosions de couleurs. Tout a été remplacé par des platebandes de rosiers Granville. Le parfum est certes enivrant mais le spectacle est assez monochrome.
Enfin, je vous conseille la splendide affiche de l’exposition. Pour 7€, je vais en décorer mon dressing.
C’est dans les locaux historiques de la maison Dior qu’ouvre un musée réunissant documents d’archives, ateliers à l’identique et bien sûr modèles de Haute Couture.
Un lieu unique de 10 000 m2 qui réunit les collections femme et homme, la beauté, la joaillerie, un café, une pâtisserie, un restaurant et un musée.
Le bureau de Monsieur DiorLa cabine des mannequinsLa cabine de Christian DiorLes retouches
Le clou du spectacle qui nous, les collectionneurs va nous ravir à coup sûr, un escalier en colimaçon, théâtre d’une exposition de 1874 objets, dont 452 robes en modèles réduits, confectionnées par les petites mains des ateliers.
Galerie Dior, 11, rue François-Ier, 75008 Paris. Ouvert tous les jours de 11 heures à 19 heures.